par cette menace: «Ne faites jamais que vos ennemis soient armés par ceux qui veulent toujours contribuer avec vous à la prospérité du pays.»
Quant au placard, en voici quelques phrases:
«Ils (les libre-échangistes) semblent ne pas s'apercevoir que, par là, ils travaillent à ruiner leur pays et qu'ils appellent l'Anglais à régner en France…
«Celui qui veut une semblable chose n'aime pas son pays, n'aime pas l'ouvrier.»
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V. tome III, pages 30 et suiv.
9
C'est l'exemple qu'ont donné M. Nicolas Kœchlin, M. Bosson de Boulogne, – M. Dufrayer, M. Duchevelard, agriculteurs, ainsi que les armateurs de Bordeaux et de Marseille.
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V. les chapitres Responsabilité, Solidarité, dans les Harmonies.
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Naturellement, la chambre de commerce avait repoussé de telles avances.
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Voir le chap. VI de Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas, tome V, page 356.
13
V. Harmonies, chap. XX.
14
V. le chap. VII de Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas, tome V, page 363.
15
V. le chap. Échange, tome VI.
16
V. au tome IV, le chap. XXI, page 105.
17
Il n'est pas inutile de faire remarquer ici qu'en France les propriétaires, dès 1818, jetaient de hauts cris contre l'avilissement ruineux du prix du blé. La loi du 21 juillet 1821, faite sous leur influence, avait la prétention de fixer le taux de 20 à 24 francs. De quelque façon qu'on l'explique, toujours est-il qu'elle trompa cruellement les espérances des agriculteurs. Voici le cours officiel du blé pendant les quatre années qui ont suivi la loi:
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1
En composant ce volume presque exclusivement d'articles extraits d'une feuille hebdomadaire, lesquels, dans la pensée de l'auteur, n'étaient pas destinés à être ainsi réunis, nous essayons de les classer dans l'ordre suivant: 1o Exposition du but de l'association libre-échangiste, de ses principes et de son plan d'opérations; – 2o articles relatifs à la question des subsistances; – 3o polémique contre les journaux, et appréciation de divers faits; – 4o discours publics; – 5o variétés et nouvelle série de
2
L'année suivante, l'auteur commentait ainsi cette phrase:
«Est-il possible de penser de même sur la liberté commerciale et de différer en politique?»
Il nous suffirait de citer des noms d'hommes et de peuples pour prouver que cela est très-possible et très-fréquent.
Le problème politique, ce nous semble, est celui-ci:
«Quelles sont les formes de gouvernement qui garantissent le mieux et au moindre sacrifice possible à chaque citoyen sa sûreté, sa liberté et sa propriété?»
Certes, on peut ne pas être d'accord sur les formes gouvernementales qui constituent le mieux cette garantie, et être d'accord sur les choses mêmes qu'il s'agit de garantir.
Voilà pourquoi il y a des conservateurs et des hommes d'opposition parmi les libre-échangistes. Mais, par cela seul qu'ils sont libre-échangistes, ils s'accordent en ceci: que la liberté d'échanger est une des choses qu'il s'agit de garantir.
Ils ne pensent pas que les gouvernements, n'importe leurs formes, aient mission d'arracher ce droit aux uns pour satisfaire la cupidité des autres, mais de le maintenir à tous.
Ils sont encore d'accord sur cet autre point qu'en ce moment l'obstacle à la liberté commerciale n'est pas dans les formes du gouvernement, mais dans l'opinion.
Voilà pourquoi l'Association du libre-échange n'agite pas les questions purement politiques, quoique aucun de ses membres n'entende aliéner à cet égard l'indépendance de ses opinions, de ses votes et de ses actes.»
Extrait du
3
M. Billault, récemment ministre de l'intérieur, a plusieurs fois émis comme avocat et comme représentant, des vues protectionnistes. (V. tome IV, pages 511 et suiv.)
4
À cette époque, le journal
5
V. ci-après, no 44, la fin du discours prononcé à la salle Taranne, le 3 juillet 1847.
6
V. au tome IV, pages 327 et 342, les pamphlets
7
La lettre adressée au conseil des ministres, et signée de MM. A. Odier, A. Mimerel, J. Périer et L. Lebeuf, finissait par cette menace: «Ne faites jamais que vos ennemis soient armés par ceux qui veulent toujours contribuer avec vous à la prospérité du pays.»
Quant au placard, en voici quelques phrases:
«Ils (les libre-échangistes) semblent ne pas s'apercevoir que, par là, ils travaillent à ruiner leur pays et qu'ils appellent l'Anglais à régner en France…
«Celui qui veut une semblable chose n'aime pas son pays, n'aime pas l'ouvrier.»
8
V. tome III, pages 30 et suiv.
9
C'est l'exemple qu'ont donné M. Nicolas Kœchlin, M. Bosson de Boulogne, – M. Dufrayer, M. Duchevelard, agriculteurs, ainsi que les armateurs de Bordeaux et de Marseille.
10
V. les chapitres
11
Naturellement, la chambre de commerce avait repoussé de telles avances.
12
Voir le chap. VI de
13
V.
14
V. le chap. VII de
15
V. le chap.
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V. au tome IV, le chap. XXI, page 105.