Chloe Dubois

Fantasmes Sexuels Secrets


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à côté d'elle. Bérénice soulagée de sentir sa présence, tend sa main vers son bras, mais ne regardant pas ce qu'elle fait elle touche quelque chose de dur mais trop dur pour que ce soit le bras de son mari.

      Elle détache son regard de l'écran de son ordinateur et regarde son mari, il est rouge comme un piment, mais il continue de feindre l'ignorance. "Mais tu bandes???" dit elle avec sa voix haut perchée que l'on dirait qu'elle crie; "Mais ché....ché...riiii, lai..... lai...ssseee moiiii t'expliquer...." "Qu'est ce qui t'arrive chéri??? Non tu vas pas me dire que c'est cette femme de ménage qui t'excites???" dit elle toujours sur le même ton. Justin reste là sans rien dire ce qui a le don d'exaspérer Bérénice.

      Elle de son côté tout se bouscule dans la tête; elle n'aurait jamais pensé que son homme, son mari, son amour de toujours puisse avoir une érection pour une autre femme. Et là les questions se bousculent dans sa tête: a t'il souvent des érections pour d'autres femmes?? l'a t'il déjà trompée?? avec qui?? comment?? quand??. Le monde qu'ils avaient créés est entrain de s'écrouler pour elle.

      Mais un sentiment depuis ce matin la trouble. En effet, quand elle a vu Mélissa la première fois ce matin, elle a été gênée. Gênée oui pas par sa couleur mais ses formes. Elle n'arrivait pas à détacher son regard de cette poitrine si généreuse, et ses hanches si développée et cette transparence de ces vêtements qui montrait allègrement les sous vêtements rendait la situation si gênante. Mais l'élément le plus gênant pour Bérénice c'est que tout ceci à provoquer en elle quelque chose de tout nouveau: elle a senti une chaleur envahir son ventre, puis descendre vers son bas ventre, inonder sa culotte marron tout en dentelle, et durcir ses tétons.

      Donc après réflexion, elle comprend pourquoi Justin est dans cet état. Et cette situation elle veut en profiter, car son sexe dégouline encore de son suc intime, ce qui lui donne des flashs dans la tête. Calmée, elle regarde Justin toujours aussi cramoisi au niveau du visage. Son érection est moins forte.

      Bérénice: "elle te plait Mélissa??" "Maiiisss euh euh euh no....no....non" finit par dire Justin. "Tu sais Justin je comprendrais si tu me dis l'inverse. Si tu me dis que ses formes t'attirent, que ses gros seins t'excitent, ainsi que ses fesses. Tu me le dire.“ "Nooonnnn, noooon Bérénice il n'y..... a que...que.... toi qui qui qui... me plaiiiiit." Bégaye Justin. "Chéri dis moi la vérité" dis elle de sa voix la plus suave. "tu aimerais tripoter ses gros seins et son gros cul hein?? "Arrêtes Bérénice...."

      "Je suis sure que tu aimerais fourrer ta belle queue dans sa chatte" sur ce Bérénice att**** le sexe de son mari qui est tendu." tu vois tu bandes comme jamais, j'en étais sure" "M....mais...a..a...mour c...c'est parce que tu dis des choses cochonnes qu...qu...que tu n'as jamais dites." finit par lâcher Justin.

      "Mais tu es un gros cochon Justin" Bérénice le branle maintenant, tout en lui malaxant les couilles. "Tu sais je suis sure que t'aimerais baiser Mélissa" lui demande t'elle tout en lui compressant la verge et ses couilles. "Oui....oui, jajajavoue. J'aimerais lalala baiiiiiissseeerrrr" crache enfin Justin.

      Bérénice relâche sa prise. Un sourire illuminant son visage satisfaite de la réponse de son mari. Justin se courbe en deux, d'une part honteux de ce qu'il vient de révéler à sa femme, de deux car son sexe lui fait vraiment mal et de trois pour l'explosion de sa jouissance.

      Mélissa passe la tête par la porte, toujours souriante: "Je monte, je vais cherche le linge pour le mettre à la machine" "OK" lâche Bérénice, lui renvoyant son sourire. Bérénice et Justin discutent de la situation, Bérénice harcèle de questions Justin pour savoir s'il a déjà couché avec d'autres femmes. Il lui jure que non, et a ses yeux et au ton de sa voix, elle sait qu'il lui dit la vérité.

      "Merci" lui susurre t'elle à l'oreille. Elle monte dans sa chambre, change sa culotte souillée de son jus; elle se dirige vers la salle de bains. La porte est entrouverte et stupeur, elle voit Mélissa devant le miroir avec une de ses culottes prises de la corbeille. Elle se la met devant elle, elle prend un soutien gorge et fait de même. Elle déballe la corbeille et agit ainsi, jusqu'à qu'elle remarque un string blanc que met rarement Bérénice, juste quand elle a envie de son homme.

      Mélissa trop occupée n'a pas encore vu Bérénice dans son dos. Elle enlève son legging et sa culotte, et oh surprise pour Bérénice elle passe son string. Elle se regarde dans le miroir, le string lui rentre littéralement dans la chatte lui séparant bien en deux les lèvres, et que dire de la ficelle qui se perd dans les profondeur de sa raie.

      Bérénice est surprise et une décharge de cyprine dans sa culotte la fait sortir de sa torpeur. Mélissa se tourne pour voir l'effet du string sur son derrière, et c'est là qu'elle s'aperçoit de la présence de Bérénice.

      Ni une ni deux avec son air de matriarche, Bérénice prend par le bras Mélissa et la tire dans les escalier malgré la différence de poids. Elle pousse la porte du salon violemment et pousse Mélissa dans la pièce.

      Justin reste médusé, son visage s'empourpre. "Tu vois ce que fait notre nouvelle femme de ménage, pendant que nous avons le dos tourné" siffle Bérénice à Justin tout en lui faisant un clin d'oeil que Mélissa ne peut pas voir. Mais Justin a du mal à se concentrer par la situation qui se déroule devant lui.

      "Elle essaie mes dessous à la place de les nettoyer, cela mérite bien une correction" dit Bérénice. Justin ne dit toujours mot, obnubilé par ce tissus perdu dans cette fente, laissant dépasser une toison développée. "Je ne veux plus de cette femme, il faut la renvoyer" assène Bérénice en criant. Le sourire naturel de Mélissa a disparu, laissant place à des larmes. "Ne faites pas cela madame, je vous en pris, ne faites pas cela, je n'ai que ce travail....." dit elle en reniflant.

      Justin est maintenant pivoine et son sexe est de nouveau douloureux. Bérénice ayant vu la réaction de Justin, se tourne vers lui et lui dit "Lève toi" Justin penaud se lève tout doucement, essayant de cacher son érection. "Et en plus elle fait bander mon mari. Que dire il n'a jamais bandé aussi fort avec moi"

      Justin et Mélissa n'ose se regarder, ils sont tous les deux rouges de hontes. "Combien vous gagnez par mois Mélissa?" finit par demander Bérénice. "Euh euh euh...."

      "Quel est votre salaire à la fin du mois Mélissa? C'est pas bien compliqué comme question quand même" s'emporte Bérénice. "Environ 900 euros madame" dit Mélissa. "Et vous êtes prête à vous faire licencier pour 900 euros parce que vous avez essayé un string qui ne vous appartient pas?" “.....non madame, je regrette..... vraiment" "Bon Mélissa, je suis prête à vous laissez une chance. Mais une seule. Compris" "Euhhhh oui, j'accepte" "Alors vous allez enlever mon string de vos fesses et le donner à mon mari" Justin qui pensait se faire oublier, regarde sa femme d'un air interrogatif et surpris; Mélisse est surprise également.

      "Vous avez bien entendu et dépêches toi Mélissa autrement je risque de changer d'avis à votre sujet." Mélissa après un temps d'hésitation prend le string entre ses doigts et le fait glisser lentement, le long de ses cuisses. Une fois enlevé, elle le tend d'une main tremblante en direction de Justin, mais sans le regarder. "Regardes mon mari" lui ordonne Bérénice. Mélissa tourne lentement la tête et regarde Justin, qui est toujours rivé à ce petit bout de tissus suspendu en l'air.

      Justin tend sa main et le récupère. "Amène le moi" lui crie sa femme. Il lui donne, elle le prend, le temps, l'étire" mais il es tout mouillé" "Sens le" dit elle en le montrant à son époux. "Aller sens le autrement je te le fais avaler" Justin, craintif, ne reconnait plus sa femme si douce et si gentille d'habitude. Il ne voit pas d'autre choix que de le prendre et le porter à son nez.

      Une odeur de vanillé, mais forte, envahit ses narines, il le renifle deux trois fois sans s'apercevoir que sa bite est de nouveau dressée et turgescente. "eh bé cela te fait de l'effet à ce que je vois, tu es un beau salaud" "Mélissa allonge toi sur la table" ordonne Bérénice