sortions de l’école de secrétariat et nous étions allées avec d’autres filles boire un verre dans un bar. On avait commandé des jus de fruit mais le serveur qui nous connaissait bien avait rajouté de l’alcool en cachette de son patron. Pourquoi est-ce que j’ai suivi Leslie chez elle ? Elle me l’avait demandé et j’avais accepté avec deux autres filles et, chez elles, nous avions continué à boire. Comment nous étions-nous retrouvées à poil ? Enfin, pour moi, ce n’était pas la première fois parce que, quelques années plus tôt je l’avais fait avec une fille de mon lycée. On s’était embrassée sur la bouche et j’avais trouvé ça dégoûtant et je le lui avais dit. Et ça, m’avait-elle demandé en ouvrant son corsage, c’est dégoûtant ? Elle n’avait pas de soutien-gorge. Rien que des seins adorablement sexys et je les avais caressés avant de les embrasser et d’abandonner mes seins à la fille puis nous avions fait l’amour ensemble. Je m’étais souvent demandé comment les femmes peuvent faire l’amour vu qu’elles n’ont pas de pénis et j’avais vu et ça m’avait convaincu de faire sans mais ça ne m’avait pas fait de moi une lesbienne.
Donc, dans la chambre de Leslie, nous étions nues toutes les quatre. Qui donc a promis que la première qui jouit… On s’est masturbées puis l’une de nous a dit que ce sera mieux avec un gode et Leslie en a sorti un que nous nous sommes passées de main en main jusqu’à ce que Leslie jouisse. Moi je m’étais toujours eff***er de jouir le plus rapidement et là, je venais de me faire doubler. Leslie est allée chercher une autre bouteille d’alcool et elle a rempli les verres et nous avons continué à boire et, Leslie encore, est montée à quatre pattes sur le lit en nous demandant de venir la lécher et je me suis dévouée. Je n’avais vu des petites lèvres aussi grandes que sur le vulve de ma grand-mère. Elles pendaient entre ses cuisses. Je les ai mordillées et j’ai tiré dessus avec mes dents puis une des filles est venue me lécher et j’ai trouvé que ça devenait intéressant puis un homme jeune a fait irruption dans la chambre.
- Qu’est-ce que tu fais-là, lui a hurlé Leslie ?
- Tiens, je vois que ma demi-soeur s’amuse, lui a répondu son demi-frère !
Notre chaîne s’est disloquée et nous nous sommes retrouvés face à face.
- Hé, a ajouté le demi-frère ! Venez ! J’ai découvert un trésor !
Deux autres types sont apparus à la porte de la chambre et ils ont tous entrés.
- Allez ! Sortez, les a suppliés Leslie ! Il n’y a rien pour vous ici !
- Il n’y a que des gouines, lui a répondu son demi-frère ?
- C’est parce qu’elles n’ont pas eu l’occasion de rencontrer de vrais hommes, a fait l’un des amis de son frère !
Leslie lui a répondu qu’ils ne sont pas capables de se déshabiller mais ils l’ont prise au mot et ils ont retiré tous leurs vêtements et il était impossible de ne pas voir qu’ils avaient envie de nous.
- On va faire un contrat, a ajouté le demi-frère de Leslie en prenant une feuille de papier et un crayon sur le bureau : règle numéro 1, interdiction de faire mal; règle numéro 2, on s’engage à tout accepter sans f***er son partenaire; règle numéro trois; est-ce que ces dames risquent d’être enceintes aujourd’hui ! Il a ajouté que ceux qui ne signeront pas peuvent sortir après avoir juré de ne jamais rien dire.
Il a fait circuler la feuille et quand elle est arrivée à moi, tous avaient signé et j’étais bien obligée de faire comme les autres et j’ai signé. Le demi-frère de Leslie a récupéré la feuille pour la plier et la mettre tout en haut de l’armoire puis il a ajouté qu’ils vont montrer aux dames qu’ils sont pleins de bonne volonté et ils se sont enculés tous les trois et celui qui était à la fin de la chenille a commencé à branler celui qui était en tête puis ils se sont séparés et ils se sont approchés de nous. J’ai sucé la bite du garçon qui était le plus près de moi et pendant que je suçais, je me suis fait prendre. Pas tout de suite parce que le type était trop excité et qu’il n’y arrivait pas et j’ai guidé sa bite dans mon vagin. Je pouvais voir que les autres baisaient comme des lapins même s’il manquait un mâle. Je suis passé dans les bras des uns et des autres et des unes et des autres.
- Je peux, m’a demandé le petit-frère de Leslie ?
Je lui ai répondu que j’ai signé et il s’est enfoncé dans mon anus et il a voulu à tout pris savoir si j’aime ça puis j’ai compris qu’il se faisait enculer par ses amis lui aussi. Au bout d’une heure d’abstinence et de chassé-croisé, le sperme a commencé à couler. Une fille s’était assise sur mon visage et elle m’arrachait les seins tant elle tirait dessus.
- La prochaine fois, il faudra que tu amènes quelqu’un d’autre, a dit Leslie à son demi-frère !
- Parce qu’il y aura une autre fois, lui a-t-il demandé ?
- Pourquoi pas, lui a-t-elle répondu ! Ça faisait longtemps que tu avais envie de me baiser ?
Il lui a répondu qu’il n’avait jamais osé lui proposer. J’avais du sperme sur le menton, sur les seins et sur les cuisses.
- Ça t’a plu, ai-je demandé à un des garçons ?
J’avais raclé du sperme sur le bout de mon index et je lui ai mis dans la bouche. Il m’a demandé s’il peut me revoir mais j’ai refusé d’être séparée des autres. Nous avons recommencé nos après-midi une douzaine de fois. Un quatrième garçon a été invité à la fête mais il est aussi arrivé qu’ils soient six, de quoi nous satisfaire et, devinez-quoi, il y a quelques temps, j’ai revu Didier, celui qui m’avait proposé de faire cavalier seul avec moi. J’ai eu un peu de mal à le reconnaître parce qu’il avait perdu ses cheveux. Il m’a demandé si je continue et je savais bien de quoi il parlait et je lui ai dit que nous avons cessé parce que Leslie a eu un enfant d’on ne sait qui des invités et, les uns après les autres, nous avons levé le pied.
- Tu m’as toujours plu, a-t-il ajouté ! Je voudrais bien me marier ! Qu’est-ce que tu en penses ?
Je n’en pensais rien. Je venais de fêter sainte Catherine. Mes parents s’inquiétaient de mon avenir.
- On peut toujours sortir ensemble pour commencer, a insisté Didier ?
J’ai commencé à sortir avec lui et puis un jour, je suis allé à l’hôtel avec lui et quand je lui ai sucé la bite, je lui ai demandé ce que c’est que ce tatouage sur son pénis. Il m’a répondu que c’est mon prénom et, effectivement, quand il a été en érection… Je lui ai dit que je ne me ferai jamais tatouer mais je n’ai pas tenu parole car si vous soulevez mon sein gauche, vous verrez le prénom de mon mari. Nous avons fait l’amour et je me suis rendu compte que Didier était plus performant que pendant nos partouzes. Je n’ai rien à lui reprocher parce que ce jour-là, il m’a prise de main de maître puis il m’a emmenée voir ses parents et je suis restée bouche bée quand Didier m’a demandé si ça me plaira.
- Vous êtes riches, je lui ai fait !
Didier rm’a répondu que je n’ai qu’un mot à dire et ce mot, je n’allais pas tarder à le dire devant le maire mais en attendant, il fallait que je présente mon fiancé à mes parents. Peu avant notre mariage, je lui ai suggéré de faire une soirée comme nous aimions tant les faire et il n’a pas hésité et nous avons pu rencontrer tous nos anciens partenaires ou presque et aussi Leslie qui était encore enceinte et ce soir-là, c’est moi qui invitais. Alors qu’il se faisait sodomiser et que je me faisais enculer par un autre, j’ai dit à Didier que c’est la dernière fois qu’on s’amuse et il m’a répondu qu’il ne veut que mon bonheur. Sur les cinq heures du matin, la petite fête s’est terminée.
Leslie m’a remerciée puis elle a ajouté qu’elle va sans doute aller directement à la clinique pour accoucher. Je suis rentrée chez moi. A la porte de mon immeuble, il y avait un type assis sur les marches et que j’avais déjà vu.
- Une passe, m’a-t-il demandé ?
Je l’ai regardé et j’ai éclaté de rire et je lui ai dit que je me marie samedi.
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