Dozy Reinhart Pieter Anne

Histoire des Musulmans d'Espagne, t. 1


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as-Châm, p. 45.

48

Burckhardt, p. 295.

49

Voyez Tabarî, t. II, p. 164 et passim.

50

Tabarî, t. I, p. 110.

51

Voyez Abou-Ismâîl al-Baçrî, p. 161, 162, l. 3.

52

Abou-Ismâîl al-Baçrî, p. 37-39.

53

Abdallâh ibn-Sad ibn-Abî-Sarh.

54

Voyez Weil, Geschichte der Chalifen, t. I, p. 171, note 2.

55

Voyez sur Hotaia la note de M. Caussin, apud de Slane, traduction anglaise d'Ibn-Khallicân, t. I, p. 209.

56

Masoudî, man. 127, p. 185; al-Mokhtâr min nawâdir al-akhbâr, man. de Leyde 495, fol. 28 v.

57

Voyez Weil, t. I, p. 166.

58

Voyez Tabarî, t. II, p. 250, 252.

59

Masoudî, p. 194; Ibn-Badroun, p. 148.

60

Voyez Masoudî, p. 204-206.

61

Expression d'Alî lui-même, parlant aux Arabes de l'Irâc (apud Reiske, notes sur Aboulfeda, t. I, p. 67).

62

Burckhardt, p. 178.

63

Nawawî, p. 565.

64

Raihân, fol. 200 r.

65

Masoudî, man. 537 d, fol. 159 r.

66

Weil, t. I, p. 217, dans la note.

67

Weil, t. I, p. 225.

68

Raihân, fol. 197; Masoudî, fol. 231 r.

69

Voyez Weil, t. I, p. 227.

70

Masoudî, fol. 231 r.

71

Masoudî, fol. 232 r. et v.

72

Chahrastânî, p. 85, 86.

73

En arabe Khawâridj.

74

Nous aurons plus tard l'occasion de revenir sur cette secte remarquable.

75

Weil, t. I, p. 246.

76

Masoudî, p. 278.

77

Mobarrad, p. 304, 305; Masoudî, p. 277.

78

Abou-'l-mahâsin, t. I, p. 113.

79

Masoudî, p. 277, 278.

80

Voyez Raihân, fol. 138 r. -139 r.; Nouveau Journ. asiat., t. XIII, p. 295-297; Raihân, fol. 139 r. et v., 140 r.; Masoudî, 537 d, fol. 141 r. et v.

81

«Nullam umquam sibi regalis fastigii causâ gloriam appetivit, sed cum omnibus civiliter vixit.» Isidore de Béja, ch. 18.

82

«Vir nimium gratissime habitus.» Isidore. Tout ce que dit cet auteur quasi-contemporain sur le caractère des Omaiyades est d'un grand intérêt, parce qu'il reproduit l'opinion des Syriens établis en Espagne, tandis que les écrivains arabes, bien moins anciens d'ailleurs, jugent d'ordinaire ces princes au point de vue des hommes de Médine. – Voyez aussi l'élégie sur la mort de Yézîd dans Wright, Opuscula Arabica, p. 118, 119.

83

Ibn-Badroun, p. 164.

84

Nouveau Journ. asiat., t. IX, p. 332.

85

Aghânî, t. I, p. 18; cf. Ibn-Badroun, p. 199.

86

Ahmed ibn-abî-Yacoub, fol. 62 v.

87

C'était, comme on l'a vu, le nom de la tribu dont Ibn-Idhâh était le chef.

88

Aghânî, t. I, p. 18.

89

Cf. Soyoutî, Tarîkh al-kholafâ, p. 209, éd. Lees.

90

Ibn-Khaldoun, t. II, fol. 170 r., 169 r.; Samhoudî, man. de Paris, no 763 bis, fol. 31 r.

91

Raihân, fol. 200 v.; Samhoudi, loco laudato.

92

Weil, t. I, p. 326. Le dixième député, Mondhir, fils de Zobair, n'accompagna pas ses collègues pendant leur retour à Médine, car il avait obtenu de Yézîd la permission d'aller en Irâc; voir Ibn-Khaldoun, fol. 169 r.

93

Ces paroles se trouvent dans l'Aghânî, p. 19, l. 19: un passage d'Abou-Ismâil al-Baçrî (Fotouh as-Châm, p. 237, l. 10) montre, je crois, qu'il faut les traduire comme je l'ai fait.

94

Aghânî, t. I, p. 18-20. Comme M. Weil l'a dit avec raison, il faut rayer, p. 18, dernière ligne, le mot alaihi.

95

Raihân, fol. 200 v.

96

Weil, t. I, p. 326, dans la note.

97

Aghânî, t. I, p. 21.

98

Soyoutî, Tarîkh al-kholafâ, p. 209, éd. Lees.

99

Ibn-Khaldoun, t. II, fol. 169 r. et v.

100

Samhoudî.

101

Voir note A, à la fin de ce volume.

102

Dans plusieurs manuscrits on lit par erreur Morrî, au lieu de Mozanî. La véritable leçon se trouve chez Fâkihî, fol. 400 r.

103

Ibn-Khaldoun, fol. 169 v.; Samhoudî.

104

Aghânî, t. I, p. 21.

105

Ibn-Khaldoun; Samhoudî.

106

Fâkihî, fol. 400 r.

107

Ibn-al-Athîr, man. de Paris (C. P.), t. III, fol. 78 r.

108

Ibn-Khaldoun.

109

Raihân, fol. 200 v.

110

Ibn-Khaldoun.