dans le renversement et assassiner de son propre père.
Le Royaume-Uni ne se bat pas autant qu’il paie: 1 million 250 mille livres sterling pour 100 000 soldats de la coalition chaque année. C’est environ 80 grammes d’or, ou 900 livres modernes par soldat ordinaire.
Bonaparte prépare un débarquement à travers la Manche, contre son principal adversaire et, pour ainsi dire, le “client”; 180 mille personnes cavalerie et infanterie. Ils ont besoin de transporter 1700 barges dans la première vague d’invasion, 590 dans la seconde. La flotte franco-espagnole est envoyée depuis la mer Méditerranée pour soutenir la force de débarquement et, au cap Trafalgar (à proximité du détroit de Gibraltar), rencontre la marine anglaise. Les forces sont à peu près égale, par trois dix navires linéaire, mais les artilleurs britanniques plus habiles, et de préférence noble officier cas « mers Lady » en aucune manière affectée par l’opération guillotine révolutionnaire. Vanguard franco-espagnole colonie, neuf fanions, les pauses, les navires de traînards subissent des pertes dévastatrices de la main-d'œuvre dans les duels d’artillerie (4500 contre 450 morts de la Colombie) sont prises à bord du navire et capturé. Les Britanniques ne perdent pas un seul navire, mais leur brave amiral Nelson – dans un baril de rhum (selon la légende, saoul par les marins pendant le voyage) meurt – le corps du commandant retourne dans sa patrie.
Pendant ce temps, les Autrichiens vont attaquer les possessions de Napoléon en Italie du Nord et en Bavière. En apprenant leurs plans, Napoléon est comme Vienne. Pour aider les alliés se précipitent deux parties de l’armée russe (environ 200 mille personnes). Alexandre suppose de livrer la bataille avant même l’approche des forces additionnelles. A Austerlitz, le 2 Décembre, 1805 recueilli de 60 mille russe, 25.000 Autrichiens, avec 350 canons et 74.000 Français (y compris leurs alliés), avec les canons 250e.
Le flanc gauche de l’armée austro-russe remporte succès, passant progressivement des hauteurs occupées et s’enliser dans un combat, les dispositions de Napoléon sur les abris forestiers et briser rapidement par le centre des forces alliées. L’artillerie française, maniable et extrêmement efficace, apparaît exactement là où elle est nécessaire, ouvre immédiatement le feu, sème l’horreur et la mort. L’armée de Franz et d’Alexandre se désagrège, ainsi que leur suite; Pendant un moment, l’empereur russe sanglotant n’est accompagné que d’un seul hussard.
Cependant, l’armée de Napoléon n’est plus capable de poursuivre l’ennemi en retraite. L’armée russe reçoit une dure leçon, conserve les deux tiers de la composition originale et la moitié de l’artillerie. L’empereur François Ier déclare à Alexandre que la résistance n’a pas de sens et conclut avec Napoléon une paix séparée. La troisième coalition anti-napoléonienne se désintègre.
En 1806, cependant, une nouvelle coalition, la Russie, la Grande-Bretagne, la Prusse, se forme. Napoléon brise l’armée prussienne, entre à Berlin. De nouvelles hostilités se déroulent en Pologne et en Prusse orientale. L’empereur français veut imposer la bataille décisive de l’armée russe, agissant de concert avec les troupes allemandes survivantes (environ 14% du total). Survenant au cours de six mois, trois affrontements des gagnants ne révèlent pas. La bataille générale a lieu en janvier 1807 sous la ville prussienne de Preysish-Eylau (aujourd’hui Bagrationovsk). Au préalable, les armées manœuvrent pendant longtemps, ce qui, dans des conditions de rigueur hivernale et d’approvisionnement insuffisant, entraîne des pertes significatives, jusqu'à 35% hors combat. À la fin, le 8 février, l’armée russe dans 67 mille personnes, avec 400 canons, laissant la ville à l’ennemi, est construite en deux lignes, sur la ligne de front 4, 5 kilomètres.
Napoléon a 64 mille soldats et 300 canons. Il y a un bombardement mutuel massif. Quelques avantages initiaux chez les Français: leurs troupes sont couvertes de murs de maisons, les artilleurs de Napoléon tirent plus souvent et avec plus de précision. L’escadron du maréchal Davout attaque le flanc gauche de l’armée russe, le commandant Bennigsen jette des renforts sur le champ de bataille, affaiblissant le milieu du système. Notant cela, Napoléon donne l’ordre au corps du général Augerot (15 000 personnes) de frapper le centre. L’offensive est menée sur une plaine enneigée. La tempête se lève, les unités françaises désorientées sont déviées vers la gauche, et soudainement elles découvrent, à 120 mètres, la batterie principale des Russes. Immédiatement 72 canons ouvrent le feu, déjà sans manquer, assommant des rangées entières de soldats. En quelques minutes, 5.200 combattants ennemis sont tués ou blessés. Bennigsen jette la cavalerie et l’infanterie au combat, attaquant à son tour le centre de l’armée des Français.
Quête a déjà lieu aux taux très Napoléon (l’empereur lui-même à regarder la bataille de la tour du clocher), mais il est venu à la rescousse de sa 9000ème la cavalerie de Murat pour rectifier la situation pour sauver leur empereur. Il y a une autre attaque désespérée d’un détachement de grenadiers russes de 4.000 hommes, puis les opposants se replient sur leurs positions d’origine. Le duel d’artillerie continue.
A midi, les parties fraîches du maréchal Davout rejoignent la bataille, elles pressent à nouveau le flanc gauche de l’armée russe. Pour aider le podospevayut mobile 36 (tiré par des chevaux de modèle français, avec une réserve de charge initiale) fusils, artillerie 3 compagnie Yermolov équestre ainsi, pour le dernier jour de près de 100 kilomètres, ce logement de Prusse. A neuf heures la canonnade s’apaise, les adversaires ne veulent pas continuer la bataille et compter les pertes. Du côté russe des tués et des blessés – 26 mille, le prussien – 800, les Français – 24 mille personnes. Les unités russes se retirent à Koenigsberg, laissant le champ de bataille, les cadavres et les armes cassées à Napoléon, mais il n’y a pas de vainqueurs ni de perdants ici.
Eylau un célèbre soldats français ont tendance à crier plus “Vive l’empereur” (Longue vie à l’empereur) et “Vive Le Paix” (vivant). Mais Napoléon est enclin à terminer la guerre sur une note victorieuse. On ne peut appeler ses actions ultérieures à la bataille de Heilsberg, le 10 juin 1807, quand l’empereur envoya encore et encore de la cavalerie aux batteries d’artillerie russes fortifiées. Les Français perdent 12 500 soldats tués et blessés (généralement tués représentent un quart des pertes), les Russes – 8 000, et conservent leurs positions. La bataille décisive se déroule le 14 juin 1807 près de Friedland (aujourd’hui région de Pravdinsk Kaliningrad, à 46 kilomètres au sud-est de Königsberg). Les forces des partis: les Français – 80 000 soldats, 118 canons, les Russes – 65 000 soldats, 120 canons. Les forces de Bonaparte lancent une attaque frontale générale, subissent des pertes importantes du kartachi russe, puis l’empereur pousse des pièces fraîches. canons français ressemblent à des canons automoteurs modernes, ils se déplacent rapidement autour du champ de bataille, avec une réserve de poudre et de plomb dans le mât de boîtes spacieux, prendre position dans les quatre-vingts mètres du front et ont ouvert le feu immédiatement de l’ennemi. Persévérance, en dépit de la force mobile des pertes élevées, bien formé l’artillerie de l’armée, soi-disant réserves inépuisables font leur travail – Napoléon gagne. La quatrième coalition se désintègre.
À l'été 1807, sur la rivière près de la ville de Tilsit (aujourd’hui – Sovetsk, région de Kaliningrad) entre France et la Russie est la paix de Tilsit. La Russie reconnaît les conquêtes de Napoléon, la restauration de l’Etat de la Pologne aux anciennes possessions de Prusse (duché de Varsovie), la puissance de la France sur les îles Ioniennes (aujourd’hui grec). Sur l’insistance de Napoléon, l’Empire russe se retire du déjà conquis de la Turquie Valachie et la Moldavie (après les relations année chaude, Napoléon leur permet de revenir, même si il est trop tard), participe au blocus naval de l’Angleterre, reconnaît trois frères Bonaparte – Joseph, Louis, Jérôme, respectivement, les rois de Naples, de Hollande et de Westphalie.
Un peu plus tôt, en 1806, par une insignifiante, en fait plus – déplacement de la règle de la Moldavie, sans l’approbation préalable de la Russie, liée une autre guerre russo-turque. L’armée russe, qui, une fois, prend d’assaut Ismail, prend possession de Iasi, Bendery et Bucarest.
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