Dozy Reinhart Pieter Anne

Histoire des Musulmans d'Espagne, t. 4


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t. II, p. 34.

      29

      Abbad., t. I, p. 222; t. II, p. 34. Sur la date, voyez la note A à la fin de ce volume.

      30

      Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 81 r. -82 r.; Abd-al-wâhid, p. 38, 43; Abbad., t. II, p. 33. Comparez la note A à la fin de ce volume.

      31

      Abd-al-wâhid, p. 43, 45.

      32

      Ibn-Khaldoun, fol. 25 v.

      33

      Ibn-Khaldoun, fol. 22 v. Comparez la lettre que Zohair fit écrire aux Cordouans par son ministre Ibn-Abbâs, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 170 r. et v.

      34

      Abbad., t. II, p. 34.

      35

      Journal asiat., IVe série, t. XVI, p. 203-205 (article de M. Munk).

      36

      Cronica del Moro Rasis, p. 37.

      37

      Ib

1

Jusque-là Elvira avait été la capitale de cette province, mais cette ville ayant eu fort à souffrir de la guerre civile, ses habitants émigrèrent vers l’année 1010, et se transportèrent à Grenade.

2

Son père était l’infortuné Abdérame-Sanchol.

3

Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 157 r. et v.; Abd-al-wâhid, p. 42, 43.

4

Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 129 r.; Abbad., t. II, p. 32, 208 etc.

5

Abbad., t. I, p. 221.

6

Abbad., t. I, p. 220. Cf. Caussin, t. III, p. 212, 422.

7

Abbâd était le trisaïeul d’Ismâîl.

8

Abbad., t. I, p. 220, 381 et suiv.; t. II, p. 173.

9

Abbad., t. I, p. 221.

10

Abd-al-wâhid, p. 65; Abbad., t. I, p. 221.

11

Abbad., t. I, p. 221.

12

Les Espagnols et les Portugais substituent ordinairement la lettre f à la gutturale arabe kh. Voyez mon Glossaire sur Ibn-Adhârî, p. 23. – Au reste, on se rappellera que sur la rive droite du Rhin, près de Caub, il y a aussi deux châteaux, Liebenstein et Sternberg, que l’on appelle les frères (die Brüder).

13

La conquête de Viseu par Mousâ est mentionnée par Maccarî, t. I, p. 174.

14

Sisenand, dont parle le moine de Silos (c. 90) et qui, après avoir quitté le service de Motadhid pour celui de Ferdinand Ier, devint gouverneur de Coïmbre, était, selon toute apparence, un de ces chrétiens d’Alafoens.

15

Abbad., t. II, p. 7. L’auteur arabe raconte ceci en parlant de Motadhid, le fils du cadi, mais en ce point il se trompe.

16

Abbad., t. II, p. 216. L’auteur arabe (Ibn-Khaldoun), au lieu de nommer le cadi, nomme ici par erreur son fils Motadhid.

17

Il alla d’abord à Cairawân, puis à Almérie, où il devint cadi. Voyez Abbad., t. I, p. 234, note 49.

18

Abbad., t. I, p. 223.

19

Abbad., t. I, p. 223-225. Ibn-Khaldoun (Abbad., t. II. p. 209, 216) dit aussi quelques mots de ces événements, mais au lieu de nommer le cadi, il nomme son fils Motadhid.

20

Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 81 r. et v., 82 r.

21

Abd-al-wâhid, p. 37, 38; Abbad., t. I, p. 222, l. 22.

22

Abbad., t. II, p. 127, 128.

23

Abbad., t. II, p. 34.

24

Abbad., t. I, p. 222; t. II, p. 34.

25

Abbad., t. II, p. 34.

26

Abbad., t. I, p. 222.

27

Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 81 r. et v.

28

Abbad., t. II, p. 34.

29

Abbad., t. I, p. 222; t. II, p. 34. Sur la date, voyez la note A à la fin de ce volume.

30

Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 81 r. -82 r.; Abd-al-wâhid, p. 38, 43; Abbad., t. II, p. 33. Comparez la note A à la fin de ce volume.

31

Abd-al-wâhid, p. 43, 45.

32

Ibn-Khaldoun, fol. 25 v.

33

Ibn-Khaldoun, fol. 22 v. Comparez la lettre que Zohair fit écrire aux Cordouans par son ministre Ibn-Abbâs, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 170 r. et v.

34

Abbad., t. II, p. 34.

35

Journal asiat., IVe série, t. XVI, p. 203-205 (article de M. Munk).

36

Cronica del Moro Rasis, p. 37.

37

Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 122 r.

38

Voyez mon Introduction à la Chronique d’Ibn-Adhârî, p. 97.

39

Ibid., p. 96, 97.

40

Journ. asiat., p. 209, dans la note.

41

Ibn-Bassâm, t. I, fol. 200 r.

42

Journ. asiat., p. 222-224.

43

Journ. asiat., p. 209.

44

Voyez mon Introduction à la Chronique d’Ibn-Adhârî, p. 96, 97.

45

Cinq millions de francs; au pouvoir actuel de l’argent, trente-cinq millions.

46

Moïse ben-Ezra (dans le Journ. asiat., p. 212, note) l’appelle Ibn-abî-Mousâ. Tel est en effet le nom que Homaidî donne au vizir Ibn-Bacanna, et c’est à tort que le copiste du man. d’Abd-al-wâhid (voyez mon édition de cet auteur, p. 43) a biffé le mot abî, qu’il avait écrit d’abord.

47

Abbad., t. II, p. 34.

48

Journ. asiat., p. 206-208.

49

Ibn-Haiyân, apud Ibn-Bassâm, t. I, fol. 171 r. -175 r.; Ibn-al-Khatîb, man. G., fol. 13